revue de presse en passant
En ce lendemain de journée de la femme une petite phrase du jour.
Son auteur ? Notre ami Le Maire de Groscouillon-sur-Saone. Lors d'une conférence de presse, nous evoquions les grands travaux de rénovation urbaine. A la fin de son speech il quitte la salle pour laisser la parole à sa 1ère adjointe " c'est comme à la maison, c'est elle qui depense et c'est moi qui paye !".
Bon, je prépare une note sur mes petits problèmes de voisinage, j'envisage d'en rediger une sur ma decouverte du monde fabuleux des Cliniques veterinaires. Mais j'ai la femme de m'y mettre.
Alors en attendant, je vous glisse une petite revue de Presse.
L'autre jour, Alexis a debarqué la radio en m'interpellant " tu veux voir la Une la plus pourrie de l'histoire de l'Equipe ?". Et effectivement, ce jour là, pas moins de 4 mauvais jeux de mots à la Une du journal le plus populaire de France. Je ne resiste pas à l'envie de vous faire partager ce grand moment de presse écrite.
Ah et puis il y aussi cette petite coupure de journal qui traine dans mon portefeuille depuis quelques temps. Une chronique ciné de Libé totalement incomprehensible. Si quelqu'un parvient à trouver un sens dans ces lignes, qu'il me contacte au plus vite.
Libération toujours avec deux photos qui me font marrer. La première a été publiée il y a quelques semaines en pleine affaire Williamson. Elle est desormais punaisée au dessus de mon bureau. La Deuxième est un fabuleux portrait d'Edouard Balladur paru ce lundi.
A bientot pour une vraie note.